Ateliers de pratique artistique

Cet atelier a l’avantage de profiter de la bande-son de la bande-annonce déjà existante et de ne travailler que la mise en images. Il permet une grande souplesse dans l’organisation car chaque participant·e peut travailler une séquence en différents groupes ; il permet une grande créativité car il est possible de refaire la bande-annonce en prise de vue en continu, en animation, en effets spéciaux…

Les objectifs sont :

• identifier et décrire les différentes composantes de l’image (personnages, lieux, symboles, texte…)
• mettre en évidence la composition de l’image : place, nature et importance respective du texte et de l’image, couleurs utilisées…
• déduire le sens de l’affiche et les intentions de l’auteur (ou commanditaire)
• déterminer à quel type de public s’adresse l’affiche et le film.

Outil de médiation proposant la composition originale d’une affiche de cinéma, le Graphinéma a été conçu par Jaune Sardine, collectif de design graphique. Le Graphinéma invite les participant·es à réaliser l’affiche d’un film en volume en abordant certaines composantes du design graphique.

Le groupe s’engage dans une réalisation collective illustrant un film à partir de son synopsis. Il transforme alors un grand panneau blanc en une vraie affiche grâce aux différentes pièces aimantées et aux fonds de couleurs de toute sortes.

Ce module vient idéalement en complément de l’atelier Analyse de l’affiche de film.

Le stop motion, animation traditionnelle « image par image » est une technique permettant de créer un mouvement à partir d’objets immobiles en prenant des photos. Une scène est capturée en ne prenant qu’une seule image à la fois. Entre chaque image, les objets de la scène sont légèrement déplacés, ce qui donnera l’impression d’animation une fois le film projeté à vitesse réelle.

Cet atelier consiste à créer son film de l’écriture du scénario à la diffusion, en passant par la réalisation du storyboard, la recherche et la création des décors, des personnages, puis le tournage, le bruitage, le tout en vivant une aventure collective, via des iPads.

Les objectifs sont :

• découvrir les métiers du cinéma d’animation
• se familiariser avec la technique stop motion
• maîtriser une production cinématographique de l’écriture du scénario à la diffusion
• travailler la grammaire du cinéma

L’atelier Trailer s’installe dans n’importe quel lieu et invite les passant·es à s’arrêter et à participer à une oeuvre collective. Une scénographie simple mais élégante accueille et enveloppe les visiteur·ses dans une expérience immersive. À l’aide d’un grand nombre de décors et de personnages préalablement fabriqués, les passant·es recréent en animation en papier découpé les différents plans d’une bande-annonce. Au fur et à mesure de la journée, les plans de la bande-annonce originale sont remplacés par ceux créés en image par image par les participant·es. Ces dernier·es se succèdent et prennent part à ce projet collectif à la hauteur de leur désir d’implication

Trois bande-annonces sont réalisables : Bande de filles de Céline Sciama, Lalaland de Damien Chazelle et La Vie est belle de Roberto Benigni. Une seule bande-annonce pourra être tournée par jour (à définir en amont).

Les objectifs sont :

• apprendre à animer en image par image
• comprendre les différentes étapes de réalisation d’un film d’animation
• s’initier au vocabulaire cinématographique
• passer un moment divertissant en famille / entre ami·es / entre élèves / avec des inconnu·es
• Donner envie aux visiteur·ses de découvrir ou de revoir des films

Les Studios Pop-Hop, décors de cinéma en pop-up, permettent aux participant·es de s’initier rapidement et de manière collaborative au vocabulaire cinématographique et aux techniques de cinéma d’animation.

Dans chaque valise se trouve un décor, auquel est rattaché une valeur de plan – une valise sur roulettes est dédiée aux travellings. Pendant une heure les participant·es découvriront la genèse du projet et ses étapes de création. Durant les deux heures qui suivront, chacun·e pourra expérimenter cet outil innovant. Pas besoin de se soucier de la phase de pré-production, à l’aide de décors en pop-up, de personnages en papier et de cartes consignes, il sera possible en deux heures de tourner un film d’animation dont le scénario est déjà écrit mais auquel il manque la fin.

Pichi et Mailen, deux adolescents en quête d’une occupation durant un après-midi d’été, explorent la plage à travers leurs jumelles. Ils découvrent au loin une île qu’ils s’empressent de rejoindre. Leur mission sur place : s’introduire à la soirée de l’année parmi les animaux habitant l’île.

Les Studios Pop-Hop, décors de cinéma en pop-up, permettent aux participant·es de s’initier rapidement et de manière collaborative au vocabulaire cinématographique et aux techniques de cinéma d’animation.

Dans chaque valise se trouve un décor, auquel est rattaché une valeur de plan – une valise sur roulettes est dédiée aux travellings. Pendant une heure les participant·es découvriront la genèse du projet et ses étapes de création. Durant les deux heures qui suivront, chacun·e pourra expérimenter cet outil innovant. Pas besoin de se soucier de la phase de pré-production, à l’aide de décors en pop-up, de personnages en papier et de cartes consignes, il sera possible en deux heures de tourner un film d’animation dont le scénario est déjà écrit mais auquel il manque la fin.

Chicago, 1962, Miss Sparks, détective privée, quitte la profession. Les souvenirs ressurgissent et nous entraînent 35 ans plus tôt, dans les méandres de la ville corrompue, à la recherche de l’assassin d’une jeune chanteuse prometteuse.

L’occasion d’expérimenter un rôle créatif et ludique face à l’image… Les ateliers sont encadrés par un·e intervenant·e de Sauve qui peut le court métrage.

• Pour les plus jeunes (dès 4 ans), l’atelier propose une initiation au bruitage  : comprendre ce qu’est un bruitage et expérimenter la synchronisation avec l’image. À partir d’extraits de films d’animation « muets », les enfants se voient proposer ce défi :
  « J’ai des extraits de films d’animation mais ils ont perdu leurs sons. Pouvez-vous m’aider à recréer les sons du film ? »
  Les enfants découvrent ainsi, de façon concrète et participative, le rôle du son au cinéma.
• Pour les plus grand·es, l’atelier approfondit la pratique : après une brève histoire du bruitage illustrée par des extraits de films, les participant·es réalisent eux·elles-mêmes le bruitage d’une séquence, plus ou moins complexe selon leur âge et leurs compétences. Ils·elles travaillent la synchronisation image/son, explorent différents matériaux pour produire les sons et expérimentent le montage sonore.

En découvrant les différentes étapes de création sonore, les participant·es développent leur écoute critique, enrichissent leur vocabulaire technique et prennent conscience de l’importance du son dans la narration cinématographique.

Réalisatrice, scénariste, décoratrice, graphiste, Chaïtane Conversat propose aux tout-petits et à leurs accompagnateur·rices de réaliser des images animées à partir d’un matériau particulier : le sable. Une invitation à laisser libre court à son imaginaire pour créer des scénarios inattendus.

Dans un univers mystérieux rempli de couleurs et de formes intrigantes, l’artiste Léa Enjalbert invite les petit·es et les grand·es à (se) raconter des histoires. À l’aide de formes biscornues et d’un dispositif de captation, la fresque réalisée par l’artiste prend vie image par image. Les participant·es construisent un monde rêvé dans lequel ils et elles pourront planter des arbres en guimauves, faire danser une girafe à tête d’ours et donner vie à tout un tas d’autres choses grâce à la magie du cinéma d’animation.